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Facilitateur de projet agile – Scrum Master

Vous avez un nouveau projet de développement logiciel ? Ou le besoin de fluidifier les échanges entre les différentes parties prenantes d’un projet de développement logiciel ? De résoudre les problèmes que personnes ne veut prendre à bras le corps ? D’avoir un regard extérieur sur le projet depuis l’intérieur du projet ? Besoin d’aide pour la mise en place d’une organisation pour diminuer le Time to Market de vos développements ?

Par mes différentes expériences j’ai pu observer à quel point des quiproquos pouvaient réduire à néant la dynamique des projets de développement logiciel autant que la réunionite et le manque d’efficacité dans les échanges. Ceci n’est pas une fatalité il est tout à fait possible de passer d’un modèle où l’on discute sans se comprendre à un modèle où les discussions sont fluides, rapides et où tous les acteurs sur un même projet ont un but commun pour faire avancer le projet.

Les parties prenantes et leurs intérêts

Trop souvent les différentes parties prenantes d’un projet n’ont pas les même objectifs : réduire les coûts sans concessions ou à l’inverse les augmenter en inventant une complexité imaginaire ou encore la stabilité de la plateforme pour les uns et l’évolution de la plateforme pour les autres. Cela mène quasi systématiquement à un projet en échec. Le but d’un facilitateur (ou Scrum Master ou chef de projet ou le mot qui correspond dans votre organisation) n’est pas de contrôler que toutes les parties prenantes font leur travail et planifier à la journée ce qui sera réalisé, son rôle principal est de toujours s’assurer que toutes les parties prenantes est un objectif commun. C’est en effet le seul moyen que les différentes parties prenantes d’un projet de développement logiciel travaille ensemble.

Les quiproquos

L’activité de conception logiciel est une activité où la capacité à conceptualiser des processus est très importante et où la précision des termes employés est primordial, un langage commun pour que tous les acteurs se comprennent sans hésitation. Quand une des parties dit A tout le monde comprend A et pas B en fonction du contexte ou du destinataire du message. Des méthodologies existent pour améliorer cela comme par exemple le BDD (Behavior Driven Development) ou encore le DDD (Domain Driven Development).

Un environnement productif

Une fois les intérêts alignés et les quiproquos évités, le terrain est plus fertile pour réussir un projet mais la route est encore longue, il faut maintenant donner les moyens techniques, matériels, humains, organisationnels aux différentes parties prenantes pour réussir le projet et cela demande en général une bonne dose d’énergie au point que ces éléments sont trop souvent laissés pour compte et emmène doucement mais sûrement des projets sur lesquels vous avez des personnes impliquées et alignées en terme d’objectifs vers un échec. Il faut donc que le facilitateur – Scrum Master prennent en charge cela tout au long de la vie du projet. Le but est de soulager les autres membres de l’équipe de ces tâches ingrates mais nécessaires et ainsi préserver leurs énergies pour leurs missions premières la technique pour l’équipe technique, le produi pour le Product Owner, …

Et après ?

Après il faut continuer d’améliorer l’environnement de travail, de débloquer des situations et surtout il faut écouter les signaux faibles, ces signes qui ne sont pas dit ni écrit mais que l’on ressent et ainsi tuer dans l’œuf tous problèmes qui pourraient surgir et éviter ainsi les catastrophes des non dit. La communication et l’écoute sont primordiales et permettent de maintenir un rythme soutenable pour les différentes parties prenantes du projet à travers des ateliers d’écoutes réciproques et d’entraides.

Cette prestation s’adapte à votre projet pour un maximum d’efficacité et donc évolue en cours de réalisation.

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Image par athree23 de Pixabay